L’initiative de ce nouveau système émane de l’Organisation mondiale de la
santé qui a investi sur cette alternative de traitement des déchets.
Le nouveau dispositif est équipé de trois salles dédiées à la séparation des
déchets médicaux, d’une dalle de 150 mm où se trouve un incinérateur « à
température ultramoderne », de deux fosses pour les déchets tranchants et
organiques, d’un point d’eau et d’un réservoir de carburant.
lire aussi : Un rapport constate des niveaux de pollution élevés à Johannesburg
En plus de cela, le système dispose d’une zone de nettoyage des déchets
médicaux, qui m facilitera la séparation des différents contenus dans les
déchets collectés. De quoi réduire de 20% les déchets dangereux que
produisent l’hôpital universitaire.
la rédaction vous propose : Rwanda, plusieurs kilogrammes de mercure détruisent l’environnement chaque année
Ce système qui non seulement, assure la préservation de l’environnement en
évitant le rejet d’agents pathogènes et de polluants toxiques, assure
l’élimination adéquate des déchets médicaux à l’Hôpital universitaire de Juba
et réduit les risques sur la santé humaine, rassure aussi sur la non
contamination de l’eau destinée à la consommation.
