La clôture de cette session a permis de comprendre son but car: « il s’agissait d’un atelier de réflexions prospectives sur les causes de la déforestation et dégradation des forêts dont la mission consiste à produire un document de référence sur les axes stratégiques pour lutter contre la déforestation et la dégradation des forêts ». Ainsi ont été les propos du chargé de la gouvernance au sein de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), bureau de Mbandaka, Me Jérémie Amani.
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Cette édition était également axée sur la restitution de résolutions de sessions précédentes, la présentation de l’état de lieu de la déforestation au travers d’une analyse de télédétection, l’identification des points chauds de la déforestation et des principales causes sous-jacentes de la déforestation, leurs conséquences sur l’environnement et la biodiversité dans la Province de l’Equateur.
Par ailleurs, l’atelier a reçu la participation de nombreux acteurs qui ont notamment assisté à ces assises de travail. Ils sont venus des différentes structures notamment du ministère provincial de l’Environnement, la Coordination de l’environnement, la société civile dont le Conseil provincial consultatif pour les forêts (CCPF), le Réseau national des associations des femmes rurales (RENAFER), du Groupe de travail climat REDD rénové (GTCRR), du Réseau des populations autochtones et locales pour la gestion durable des écosystèmes forestiers ( REPALEF ), les institutions Universitaires et les exploitants artisanaux des bois.
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Cet atelier s’inscrit dans le cadre du processus du Programme intégré « PIREDD » du projet financé par le FONAREDD (Fonds national REDD+) et mis en œuvre par la FAO et le WWF en vue d’apporter les propositions stratégiques pour leur capitalisation.