L’Algérie, les ministères de l’Environnement et des Energies renouvelables et
des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et du PNUD
travaillent en synergie pour faire de ce plan, un outil indispensable face aux
effets du changement climatique. C’est pour ça qu’en 2018, la l’Algérie avait
sollicité le Fonds vert pour le climat, via le PNUD, en vue de l’accompagner
dans la réalisation du Plan national d’adaptation aux changements
climatiques, suivant le plan-type adopté par la Commission nationale Climat.
C’est finalement en avril 2023 qu’il a obtenu un financement de 3 millions de
dollars du Fonds vert pour le climat après moults tentatives.
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Le plan vise à répondre aux conséquences du changement climatique soit sur
le plan de la sécurité alimentaire, de l’eau et de l’énergie. L’une des missions
du Plan national d’adaptation aux changements climatiques est que les pays
avancés et ceux moins développés travaillent ensemble, respectent leurs
engagements conformément aux exigences de l’Accord de Paris en matière de financement.
L’Algérie soutient et œuvre pour la transition vers des modes de production et
de consommation durables, en recourant à des technologies à faibles
émissions, selon les capacités et conditions propres aux différents secteurs.
Juste après la ratification de l’Accord de Paris sur le climat, en octobre 2016,
l’Algérie avait lancé une consultation nationale, sous l’égide du ministère de
l’Environnement et avec la participation de 18 départements ministériels,
pour l’élaboration du Plan national Climat (PNC).
