Les spécialistes de l’environnement dans leur étude sur les indices atmosphériques pensent que les pays africains sont classés premier. Les populations sont victimes des poussières du fait des routes, de la combustion des déchets ainsi que l’activité des centrales thermiques. Les conséquences de ce cocktail sont néfastes pour la santé des populations et celle de l’environnement.
lire aussi : Sénégal : 121 bus électriques pour lutter contre le changement climatique
Pour pallier ce problème, la solution AirQo a mobilisé un collectif d’informaticiens et physiciens kampalais qui travaillent sur la surveillance de la qualité de l’air constituant ainsi un indicateur clé de l’ODD11 sur la ville durable. Leur slogan, « Un air pur pour toutes les villes africaines ». Le logiciel d’intelligence artificielle AirQo développé par la start-up éponyme en Ouganda se charge de communiquer aux communautés des données précises sur la qualité de l’air et se propose de piloter des actions pour son amélioration.
la rédaction vous propose : Le changement climatique transforme les fleuves africains en épicentres de conflits
Concrètement, l’équipe installe des capteurs de surveillance sur les toits des bâtiments et même à l’arrière pour pouvoir collecter des données sur la qualité de l’air, notamment dans les sols. C’est grâce à une option digitale qui suit la diffusion des polluants depuis leur source émettrice jusqu’à leur propagation par le vent.