Le ministre ivoirien de l’Environnement et du Développement durable a réaffirmé l’interdiction de la production, de l’importation et de la commercialisation, de la possession et de l’utilisation de sacs en plastique en Côte d’Ivoire. Il a souligné que cette interdiction avait encouragé les entreprises à se tourner vers des emballages réutilisables et biodégradables. Les manifestations ont été Co organisées par la Banque avec le ministère ivoirien de l’Environnement et du Développement durable, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et les Pays-Bas.
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Le vice-président de la Banque africaine de développement chargé de l’Électricité, de l’Énergie, du Climat et de la Croissance verte, Kevin Kariuki, a, quant à lui, exhorté à des efforts collectifs pour explorer des solutions viables pour lutter durablement contre la pollution plastique, « l’un des problèmes environnementaux mondiaux les plus urgents de notre époque ». M. Kariuki a déclaré que la Banque africaine de développement, en tant que moteur du développement de l’Afrique, est bien placée pour promouvoir des initiatives visant à relever les défis environnementaux du continent.
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La Banque africaine de développement a piloté l’organisation du Forum des solutions à la pollution plastique pour aider les entreprises à mettre fin à la pollution plastique en Afrique. « Les solutions existent déjà », a déclaré Al Hamndou Dorsouma, responsable du climat et de la croissance verte à la Banque. « Nous n’avons pas d’excuses ! L’Afrique doit passer à l’économie circulaire. L’avenir est circulaire », a-t-il conclu.